Hybride de rosier gallique, obtenu vers 1840-1846, par Louis Parmentier, à Enghien (Belgique).
Voici un grand classique parmi les roses anciennes. Ses fleurs de taille moyenne sont pleines et présentent un coloris violet très foncé, tirant sur le parme noirâtre. Le bord des pétales est carmin.
C'est un hybride de gallique et de rosier de chine, peu épineux, très florifère mais très délicat. Son feuillage fin aime être soigné chaque printemps, car sinon, gare au marsonia... J'ai trouvé la parade : il faut éliminer les vieilles branches pour aérer l'arbuste.
Lorsqu'on les froisse, les feuilles dégagent une odeur poivrée assez douce. Les fleurs en pompons inodores naissent en bouquet et palissent en mauve cendré.
Au plein épanouissement, elles découvrent leur cœur blanc.
Source :
SINGER, Dictionnaire des roses, tome 1, Bruxelles, 1885.
En effet, ce rosier est d'une grande beauté, sa couleur est sublime.J'ai parcouru la liste des rosiers qui peuplent ton jardin, tu as des petites merveilles que j'affectionne.
RépondreSupprimerbelle soirée Jocelyne
C'est un de mes rosiers préférés: le 1er gallique du jardin!
RépondreSupprimerJ'ai du le changer de place cet automne, j'espère avoir neanmoins quelques fleurs!
Bon week end!